Sommaires d’Asymétrie (2004-2008)
Bulletin d’un Réseau de l’Antimonde
Article mis en ligne le 12 août 2013
dernière modification le 30 septembre 2018
par ArchivesAutonomies
- Asymétrie N°1 - Juin 2004
- Morceaux choisis
- Dialogues imaginaires sur la bureaucratie
- Pour la criminalisation du mouvement social
- Ils veulent nous apprendre à marcher en nous coupant les pieds
- La stratégie préventive
- Lettre d’un optimiste pressé à l’antimonde : L’époque est bonne ?!
- Elle frappe, elle se cherche, elle se construit : l’asymétrie...
- Vers le chaos... Rapport à l’anti-monde concernant la période 2001-2004
- Asymétrie N°2 - Juillet 2006
- Morceaux choisis
- Elle est rance ta France !!!
- Ça passe
- Les banlieues du monde, c’est dangereux ! T’as raison d’te chier d’ssus !
- À toutes celle et ceux
- Jusqu’à ce que les traces du vieux monde aient complètement disparu
- La fin des illussions ?
- Légitimité ? Nique ton maire !
- Pour ceux ki savent... pas
- Pour tuer l’argent, brûlons tous les diplômes !
- Asymétrie N°3 - Octobre 2006
- Morceaux choisis
- La grande confrérie sécuritaire
- Flux tendu
- Matériaux pour une critique radicale de la Civilisation capitaliste !
- Asymétrie N°4 - Juin 2007
- Dans les entrailles de la charogne (deuxième partie)
- Quel sens donner à notre existence ?
- Migrations, mixité sociale, cosmopolitique. Un problème d’exclueurs ?
- Note de lecture : Les sociétés militaires privées et la privatisation de la violence
- Dans les entrailles de la charogne (deuxième partie)
- Asymétrie N°5 - Décembre 2007
- Attitudes vacantes - Tomas Maredance
- Hégémonie de la vision, pétrification : quelques lieux communs
- Annexe : Et ce n’est pas prêt de s’arranger !
- Asymétrie N°6 - Mars 2008
- "Nécropolitique et technoscience : manipulations du vivant ?"
- La mort infuse...
- Expérience et caractère dans la nécropolitique capitaliste : quelle idiorythmie ?
- "Sur la mort, la guerre, les fléaux et la famine" (extraits) - Ernest Coeurderoy
- De la suie dans le sang : petits raccourcis nécrologiques
- A Janitzio on n’a pas peur de la mort